Le bateau rêve
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Très bon livre
Julie SAMUEL
« Pour celles et ceux qui voient passer des poissons à leur fenêtre, certains soirs. »
Avec sa dédicace, Séverine Vidal donne le t(h)on de l'histoire qui commence par le réveil en sursaut d'Idriss.
« Il a encore fait ce drôle de rêve dans lequel des milliers de poissons passent à sa fenêtre en nageant dans le ciel glacé.
- Ça ne peut pas durer, c'est toutes les nuits la même chose... Je vais les suivre ! Je dois découvrir où ils filent ! »
Alors avec son amie Simona, Idriss décide de fabriquer LA MACHINE : une coque de bateau à hé-lice, agrémentée d'une longue vue et d'ailes-plumes de paon, pour partir à la poursuite des rêves.
Ceux de l'enfance d'abord, où Idriss croise l'oiseau de feu qui le fascinait tant. Ceux du « catalogue des rêves » ensuite - proposés par une petite fille des marais - où Idriss se retrouve propulsé aux pieds des gratte-ciel new-yorkais.
Après une nuit fantastique à voyager à travers les songes, les deux amis s'en retournent finalement chez eux, traversant la Voix Lactée.
« - Alors, vous avez trouvé des réponses ?
- Non, et en chemin, on a même oublié les questions ! »
Métamorphosé en véritable marchand de sable, l'illustrateur Julien Arnal distille dans les pages de cet album grand format mille et un détail, jouant avec les codes du « cherche-et-trouve ».
Couleurs ouatées, douceur des traits, personnages-animaux, tout converge à nous en mettre plein les mirettes.
Et c'est réussi ! On en ressort sur un petit nuage (rose évidement).
Avec sa dédicace, Séverine Vidal donne le t(h)on de l'histoire qui commence par le réveil en sursaut d'Idriss.
« Il a encore fait ce drôle de rêve dans lequel des milliers de poissons passent à sa fenêtre en nageant dans le ciel glacé.
- Ça ne peut pas durer, c'est toutes les nuits la même chose... Je vais les suivre ! Je dois découvrir où ils filent ! »
Alors avec son amie Simona, Idriss décide de fabriquer LA MACHINE : une coque de bateau à hé-lice, agrémentée d'une longue vue et d'ailes-plumes de paon, pour partir à la poursuite des rêves.
Ceux de l'enfance d'abord, où Idriss croise l'oiseau de feu qui le fascinait tant. Ceux du « catalogue des rêves » ensuite - proposés par une petite fille des marais - où Idriss se retrouve propulsé aux pieds des gratte-ciel new-yorkais.
Après une nuit fantastique à voyager à travers les songes, les deux amis s'en retournent finalement chez eux, traversant la Voix Lactée.
« - Alors, vous avez trouvé des réponses ?
- Non, et en chemin, on a même oublié les questions ! »
Métamorphosé en véritable marchand de sable, l'illustrateur Julien Arnal distille dans les pages de cet album grand format mille et un détail, jouant avec les codes du « cherche-et-trouve ».
Couleurs ouatées, douceur des traits, personnages-animaux, tout converge à nous en mettre plein les mirettes.
Et c'est réussi ! On en ressort sur un petit nuage (rose évidement).
