Abaton, 1. Au delà de la peur
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Visible par tous
Très bon livre
Cécile LHOMMEAU
« Abatonia, la cité des abeilles, était une bande dessinée immense qui racontait les aventures de deux abeilles, emportées par le vent sur une île déserte et décidées à créer un monde nouveau après la grande extinction des peuples. »
Linus, Simon et Edda vont chercher à comprendre l'énigme de cette représentation grandeur nature dans le métro. Les trois adolescents se rencontrent par hasard dans un camp de vacances. Ce présumé camp est en réalité contrôlé par une société secrète nommée Gene Sys qui surveille et manipule des jeunes dans le but de trouver de nouvelles recrues pour former une élite correspondant à la population d'un monde idéal.
Le contact entre eux se fait de manière évidente car ils souffrent de la disparition de leurs proches. Les parents de Linus ont disparu un an auparavant dans le métro berlinois, le père de Simon se retrouve emprisonné et enfin la mère d'Edda est internée pour maladie mentale. Une amitié presque surnaturelle se crée et les aide à se défendre contre des agresseurs dont ils ne savent rien.
Abaton, le premier tome de la trilogie, se dévore comme un bon thriller. La narration se construit comme une immense course-poursuite dans le temps. L'histoire s'écoule sous forme de flash-back et d'arrêt sur images sur différentes périodes de l'histoire. Un roman psychologique qui traite bien des forces et des dangers des nouvelles technologies. Les personnages, tous attachants, développent des sentiments controversés liés à l'adolescence. Les soins apportés à la typographie et aux compositions graphiques en bleu, à base, principalement, de caractères spéciaux, plongent le lecteur dans une autre dimension. Attention cependant à la traduction française et au style qui rendent parfois la lecture difficile. Pourtant, il serait dommage de passer à côté de cette aventure...
Linus, Simon et Edda vont chercher à comprendre l'énigme de cette représentation grandeur nature dans le métro. Les trois adolescents se rencontrent par hasard dans un camp de vacances. Ce présumé camp est en réalité contrôlé par une société secrète nommée Gene Sys qui surveille et manipule des jeunes dans le but de trouver de nouvelles recrues pour former une élite correspondant à la population d'un monde idéal.
Le contact entre eux se fait de manière évidente car ils souffrent de la disparition de leurs proches. Les parents de Linus ont disparu un an auparavant dans le métro berlinois, le père de Simon se retrouve emprisonné et enfin la mère d'Edda est internée pour maladie mentale. Une amitié presque surnaturelle se crée et les aide à se défendre contre des agresseurs dont ils ne savent rien.
Abaton, le premier tome de la trilogie, se dévore comme un bon thriller. La narration se construit comme une immense course-poursuite dans le temps. L'histoire s'écoule sous forme de flash-back et d'arrêt sur images sur différentes périodes de l'histoire. Un roman psychologique qui traite bien des forces et des dangers des nouvelles technologies. Les personnages, tous attachants, développent des sentiments controversés liés à l'adolescence. Les soins apportés à la typographie et aux compositions graphiques en bleu, à base, principalement, de caractères spéciaux, plongent le lecteur dans une autre dimension. Attention cependant à la traduction française et au style qui rendent parfois la lecture difficile. Pourtant, il serait dommage de passer à côté de cette aventure...
