La vie en vrai. Tsatsiki / Moni Nilsson-Brännström
La vie en vrai. Tsatsiki [texte imprimé] / Moni Nilsson-Brännström, Auteur . - Paris cedex 13 (87 quai Panhard et Levassor, 75 647) : Père Castor-Flammarion, 2004 . - 191 ; 17,3x12,5. - (Castor poche) . ISBN : 978-2-08-161270-9
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Tsatsiki est le prénom du garçon de 6 ans, héros de l'histoire, mais c'est aussi, avec une légère modification orthographique, celui d'un plat Grec que sa maman adore. Tsatsiki vit avec sa mère musicienne, qui travaille avec un groupe de rock. Son père est pêcheur de poulpes en Grèce, il ne le connaît pas. Il va à la grande école pour la première année. Il a le trac mais très vite, il s'intègre et se sentira suffisamment fort pour lutter avec "Martin face de rat" qui intimide tout le monde et en particulier les plus faibles. Rentrant un jour à la maison avec un "oeil au beurre noir", sa maman-copine va prendre les choses en main : intervention injuriante et humiliante auprès du directeur, allant jusqu'à aller rappeler la convention de l'O.N.U. sur les droits de l'homme ! Elle assiste alors à la classe (c'est autorisé aux parents en Suède) et se mêle de tout.
Le dernier tiers du livre est plus attachant, lorsque Tsatsiki se pose des questions à propos de l'absence de son père. Tout finira bien, le méchant camarade deviendra le meilleur copain et Tsatsiki partira pour la Grèce sans que l'on ne sache rien d'éventuelles retrouvailles avec son père.
Tout cela est assez extravagant et peu crédible. Le personnage de la maman, dont l'originalité aurait pu être intéressante, semble seulement puéril faute d'approfondissement. Quelques situations sont amusantes mais il y en a aussi beaucoup à propos de sa vie à l'école. A part les noms de famille, à consonance suédoise, le livre n'est pas très dépaysant. C'est dommage car les éditeurs ne présentent pas souvent de littérature venant de Scandinavie.
Anne-Marie BAHU
Fiche propriété de la Ville de Nantes.
Le dernier tiers du livre est plus attachant, lorsque Tsatsiki se pose des questions à propos de l'absence de son père. Tout finira bien, le méchant camarade deviendra le meilleur copain et Tsatsiki partira pour la Grèce sans que l'on ne sache rien d'éventuelles retrouvailles avec son père.
Tout cela est assez extravagant et peu crédible. Le personnage de la maman, dont l'originalité aurait pu être intéressante, semble seulement puéril faute d'approfondissement. Quelques situations sont amusantes mais il y en a aussi beaucoup à propos de sa vie à l'école. A part les noms de famille, à consonance suédoise, le livre n'est pas très dépaysant. C'est dommage car les éditeurs ne présentent pas souvent de littérature venant de Scandinavie.
Anne-Marie BAHU
Fiche propriété de la Ville de Nantes.