oeil sur la rivière (L')
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Très bon livre
La maison bleue au bord de la rivière est inhabitée, on la dit hantée. Cela ne décourage pas Léa et Anouk dans leurs escapades. Mais un drame a déjà eu lieu dans cette maison cinq ans auparavant, Anouk l'apprend et craint pour la vie de son amie, mais celle-ci ne la croit pas. Anouk est rapidement envoûtée par cette maison.
Alex Pargam joue avec les nerfs du lecteur, dès la première page où l'on comprend qu'un drame est sur le point de se reproduire. Quoi qu'elles fassent, les deux héroïnes sont vouées sinon à une fin tragique, au moins à de grosses frayeurs. La maison est un personnage à part entière qui donne au roman sa dimension fantastique. Le malaise est présent jusqu'à la dernière phrase du roman. Les doutes et les angoisses d'Anouk, l'incompréhension des adultes, l'impression de fin inéluctable sont très bien analysés et donnent une ambiance inquiétante au roman. A ne pas lire la nuit dans une maison dont les parquets craquent...
Roselyne MALAVIEILLE
Fiche propriété de la Ville de Nantes.
L'intrigue est bien menée mais la fin ne la résoud pas.
Valérie PONROY
Alex Pargam joue avec les nerfs du lecteur, dès la première page où l'on comprend qu'un drame est sur le point de se reproduire. Quoi qu'elles fassent, les deux héroïnes sont vouées sinon à une fin tragique, au moins à de grosses frayeurs. La maison est un personnage à part entière qui donne au roman sa dimension fantastique. Le malaise est présent jusqu'à la dernière phrase du roman. Les doutes et les angoisses d'Anouk, l'incompréhension des adultes, l'impression de fin inéluctable sont très bien analysés et donnent une ambiance inquiétante au roman. A ne pas lire la nuit dans une maison dont les parquets craquent...
Roselyne MALAVIEILLE
Fiche propriété de la Ville de Nantes.
L'intrigue est bien menée mais la fin ne la résoud pas.
Valérie PONROY
