

Agathe ou le jardin du peintre [texte imprimé] / Amélie Range, Auteur ; Patrick Gromy, Illustrateur . - Toulouse Cedex 9 (300, rue Léon-Joulin, 31101) : Milan, 1989. - (Zanzibar) .
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Visible par tous
Très bon livre
Jany TROUSSET (janvier 1990)
A travers les yeux d'une enfant, un vieux peintre d'origine sicilienne redécouvre sa peinture.
S'ensuit un voyage initiatique pour tous les deux.
Une réflexion sur la création artistique et les découvertes qu'elle permet. Même si ce thème a déjà été exploité, il est ici très bien présenté et bien écrit.
A signaler, dans la même collection, Hilaire, Hilarie et la gare de St-Hilaire de Hélène Montardre dans lequel est traité un thème en partie identique.
S'ensuit un voyage initiatique pour tous les deux.
Une réflexion sur la création artistique et les découvertes qu'elle permet. Même si ce thème a déjà été exploité, il est ici très bien présenté et bien écrit.
A signaler, dans la même collection, Hilaire, Hilarie et la gare de St-Hilaire de Hélène Montardre dans lequel est traité un thème en partie identique.
Sans avis particulier
Monique BERMOND (novembre 1989)
Une petite fille de cinq ans curieuse, imaginative et un brin délurée, déboule dans la vie d'un peintre solitaire et misanthrope.
Après avoir critiqué la tristesse de ses oeuvres, elle l'entraîne à pousser la porte peinte et à entrer dans son tableau. Pier Avellino va ainsi retrouver le village de son enfance, sa jeunesse, etc.
Joli thème dans lequel l'auteur fait preuve d'une vive imagination, la poésie est très présente. Mais elle est meilleure narratrice que dialoguiste. En effet, ses dialogues sont médiocres, sonnent faux ; elle oublie qu'Agathe n'a que cinq ans et elle lui prête un discours, des raisonnements trop élaborés.
Hideuses illustrations ce qui est un comble pour un livre qui traite de peinture. En outre, le dessinateur de couverture a ignoré et les descriptions du texte et les représentations intérieures nous offrant ainsi des personnages d'un autre roman.
Après avoir critiqué la tristesse de ses oeuvres, elle l'entraîne à pousser la porte peinte et à entrer dans son tableau. Pier Avellino va ainsi retrouver le village de son enfance, sa jeunesse, etc.
Joli thème dans lequel l'auteur fait preuve d'une vive imagination, la poésie est très présente. Mais elle est meilleure narratrice que dialoguiste. En effet, ses dialogues sont médiocres, sonnent faux ; elle oublie qu'Agathe n'a que cinq ans et elle lui prête un discours, des raisonnements trop élaborés.
Hideuses illustrations ce qui est un comble pour un livre qui traite de peinture. En outre, le dessinateur de couverture a ignoré et les descriptions du texte et les représentations intérieures nous offrant ainsi des personnages d'un autre roman.